Et si on changeait tout?

Agora est une plateforme sociale en développement conçue pour redonner à chacun le contrôle sur sa parole, ses données et ses interactions.À l’heure où les grandes plateformes dictent les règles de nos échanges, où la viralité prime sur la nuance, et où la parole se perd dans des espaces opaques, Agora souhaite proposer une alternative globale, sobre et responsable.Ni simple clone des réseaux existants, ni projet marginal réservé aux initiés, Agora est pensée comme une place publique numérique ouverte à tous, où la liberté d’expression, la qualité des échanges et la transparence sont au cœur de l’expérience.

  • Un Alter-Ego (un deuxième profil anonyme) pour les comptes vĂ©rifiĂ©s afin de permettre de s’exprimer librement sans sacrifier la responsabilitĂ©.

  • Une interface entièrement personnalisable (profil publique et Alter-Ego) pensĂ©e pour les utilisateurs comme pour les institutions.

  • Un fil d’actualitĂ© sans bulles de filtre, alimentĂ© par un algorithme favorisant une diversitĂ© d’idĂ©es et de points de vues modĂ©rĂ©s.

  • Un système de notation de la fiabilitĂ© des mĂ©dias, pour promouvoir l’information fiable et dĂ©courager la manipulation.

  • Un système de rĂ©putation qualitatif, pour encourager la rigueur, pas la viralitĂ©.

  • Une modĂ©ration combinant dĂ©tection automatique, signalements des utilisateurs hiĂ©rarchisĂ©s par rĂ©putation, et validation finale par un modĂ©rateur humain. Chaque dĂ©cision est documentĂ©e pour garantir transparence et cohĂ©rence.

  • Une gouvernance indĂ©pendante et rĂ©siliente, conçue pour durer, rĂ©sister Ă  toutes formes d’ingĂ©rences Ă©conomiques ou politiques, et Ă©voluer avec la communautĂ© vers la première vĂ©ritable dĂ©mocratie numĂ©rique

  • Un modèle Ă©conomique intĂ©grĂ© : marketplace interne, abonnements communautaires, crĂ©dits convertibles, et mĂ©cĂ©nat institutionnel transparent.

  • PublicitĂ©s Opt-in volontaires, non invasives et Ă©changeables contre des crĂ©dits internes.

  • Des outils avancĂ©s pour les journalistes, crĂ©ateurs, ONG, chercheurs : diffusion professionnelle, analyse des tendances, publication enrichie.

  • Et bien plus encore!

Il n’est pas ici question d’un énième réseau « alternatif » qui finit finalement par copier les modèles défectueux déjà existants. Nous parlons d’un changement radical, d’une rupture avec le modèle actuel.Nous parlons d’une nouvelle plateforme sociale fondamentalement différente, conçue pour la transparence, la liberté d’expression et la protection des utilisateurs. Agora se veut une alternative qui repense la modération, l’accès à l’information et l’indépendance numérique à travers le monde.Agora est un projet ambitieux, indépendant et résolument tourné vers l’avenir.
Conçu pour rivaliser avec les géants du numérique, il s’adresse à toutes celles et ceux qui souhaitent un internet plus libre, plus structuré, plus digne de confiance.

Agora; pour la création d’un espace numérique où la parole retrouve son sens.

Différent de tout ce que vous connaissez et de tout ce qui a déjà été fait

Pour convaincre nos investisseurs et concrétiser ce projet, nous devons prouver que les gens veulent un véritable changement. Mais pour y arriver, nous avons besoin de vous. Pas de votre argent ou d’un abonnement.

Juste de votre intérêt.

Aidez-nous : Inscrivez-vous à la liste d’attente et montrez que vous aussi, vous voulez un réseau social conçu pour vous, et non contre vous.

Votre adresse e-mail ne sera utilisée que pour vous tenir informé de l’avancement d’Agora. Vous pourrez vous retirer de la liste à tout moment.

Pourquoi Agora? Pourquoi maintenant?

Le web n’est plus ce qu’il prétendait être : un espace de liberté, de création et d’échange. Aujourd’hui, une poignée d’acteurs privés – Meta, Google, X (ex-Twitter), TikTok, YouTube – concentrent l’essentiel du pouvoir numérique mondial. Ils fixent les règles, orientent les discours, décident de ce qui mérite d’être vu… ou censuré. Ce modèle ultra-centralisé produit des effets durables et profonds sur nos sociétés, souvent invisibles, toujours structurants.

1. Une captation systématique de l’attention et de la valeur

Ces plateformes sont conçues pour maximiser le temps passé, et non la qualité de l’expérience. Ce que vous voyez dépend moins de la pertinence que de la réaction émotionnelle que cela déclenche.L’algorithme favorise le choc, la polarisation, la colère ou la peur, car ce sont ces émotions qui retiennent l’utilisateur. Pendant ce temps, vos données personnelles – vos clics, vos likes, vos silences – sont collectées, revendues, monétisées sans partage ni consentement éclairé.Les créateurs, eux, sont dépendants de mécaniques opaques, dont les règles changent sans avertissement. Leur travail est soumis aux caprices d’une logique qui favorise la viralité à court terme plutôt que la valeur durable.

2. Une censure algorithmique qui ne dit pas son nom

La modération des contenus est automatisée, opaque, incohérente. Certains discours sont amplifiés, d’autres invisibilisés, sans explication ni possibilité de recours. Il ne s’agit pas toujours d’une censure volontaire, mais d’une sélection systémique, qui façonne la perception du monde selon des critères inavoués : intérêt économique, position idéologique, stratégie de marque.X (ex-Twitter) en est aujourd’hui l’exemple le plus visible : depuis son rachat par Elon Musk, la plateforme a désactivé des protections essentielles, favorisé des comptes payants et amplifié certains récits, tout en reléguant d’autres à l’arrière-plan.Mais ce phénomène n’est pas propre à une seule plateforme : Facebook, TikTok et YouTube modifient aussi leurs algorithmes à des fins stratégiques, sans transparence.

3. Une bulle de filtre qui appauvrit le débat public et les esprits

Chaque utilisateur évolue dans un univers algorithmique personnalisé, nourri par ses comportements passés. Loin d’encourager la curiosité ou le dialogue, ces plateformes nous enferment dans des cercles de confirmation : on ne voit que ce qu’on croit déjà.La pluralité d’opinions devient une variable d’ajustement, et la confrontation des idées un risque commercial. Cette fragmentation de la réalité mine la base même de tout débat démocratique : un espace commun partagé. Les communautés ne se croisent plus, ne s’écoutent plus, ne se comprennent plus.

4. Un effacement progressif de la souveraineté numérique

En déléguant nos outils de parole et de diffusion à des entreprises privées, souvent situées à l’étranger, nous abdiquons une part de notre autonomie collective. Institutions, médias, chercheurs, citoyens : tous sont contraints d’utiliser des plateformes qui peuvent bloquer, déréférencer ou faire disparaître leurs contenus, sans avoir à se justifier.Nous sommes devenus locataires d’un web qui ne nous appartient plus, où aucune alternative souveraine, publique ou indépendante n’offre les garanties nécessaires à un échange libre, durable et sécurisé.

5. Aucun espace pour douter, essayer, respirer

Sur les réseaux dominants, chaque mot est archivé, indexé, potentiellement réutilisé. Il n’y a plus d’espace pour tester une idée, pour formuler un doute, pour changer d’avis sans conséquences.Toute prise de parole est associée à une identité fixe, visible, marchande et engage l’image publique, la carrière ainsi que la réputation d’un individu.Cela freine l’expression authentique, décourage la nuance, et pousse à l’autocensure ou au silence. Le conformisme devient une stratégie de survie, plus sûre que la sincérité.

6. Des modèles économiques injustes, fondés sur la captation

Le modèle économique des plateformes sociales dominantes est essentiellement extractif : elles captent la valeur produite par les utilisateurs sans la redistribuer.Les créateurs fournissent le contenu, les utilisateurs l’attention, mais les revenus vont aux régies publicitaires et aux actionnaires. Ce système ne valorise ni la qualité, ni l’utilité, ni la fiabilité — seulement la rentabilité.

Conclusion : un espace social devenu marchandise

Ce que nous appelons encore “réseau social” n’est plus un espace social au sens fort.
C’est un marché de la captation, un environnement contrôlé, orienté, optimisé pour capter notre temps, notre attention et notre parole — pas pour les libérer.
Il ne s’agit pas seulement d’une dérive technique. Il s’agit d’un déséquilibre structurel, auquel nous devons opposer un projet cohérent, responsable et ambitieux.

Un projet comme Agora.

Les dérives des réseaux sociaux ne se limitent pas aux États-Unis. Partout dans le monde, la manipulation algorithmique, la censure arbitraire et l’influence des intérêts privés ou politiques menacent l’information libre et impartiale.Même les plateformes se voulant indépendantes ne sont pas à l’abri. Un fondateur peut avoir cette lutte à cœur, mais qu’en est-il de ses associés ? De ses successeurs ?Face à ce problème, l’idée de nationaliser les réseaux sociaux gagne du terrain. Mais à nos yeux, cela ne représente pas une solution viable à long terme.

Pourquoi?

  • Une plateforme sous contrĂ´le gouvernemental reste vulnĂ©rable aux intĂ©rĂŞts changeants des politiques et aux rĂ©gimes en place.

  • La libertĂ© d’expression ne doit pas dĂ©pendre du pouvoir en place – elle doit ĂŞtre garantie, peu importe qui gouverne.

Des alternatives utiles, mais incomplètes

Certains diront qu’il existe déjà des alternatives. Et c’est vrai — des projets comme Mastodon, PeerTube, Lemmy, Diaspora ou Bluesky ont émergé avec des intentions sincères et des bases éthiques solides.Mais peut-on vraiment les considérer comme de véritables alternatives? La plupart d’entre elles corrigent un symptôme isolé — la centralisation, la publicité, la modération opaque — sans jamais remettre en question l’architecture globale du problème.

  • Mastodon reprend le format de Twitter mais laisse les utilisateurs se perdre dans un labyrinthe d’instances sans vision unifiĂ©e ni gouvernance claire.

  • PeerTube dĂ©centralise l’hĂ©bergement vidĂ©o, mais n’offre ni visibilitĂ© transversale, ni Ă©cosystème de valorisation pour les crĂ©ateurs.

  • Bluesky prĂ©tend rompre avec les logiques de pouvoir, tout en restant Ă©troitement liĂ© Ă  ses fondateurs et sans modèle Ă©conomique viable.

  • D’autres projets libres peinent Ă  dĂ©passer le cercle des initiĂ©s, freinĂ©s par des interfaces complexes, un manque de lisibilitĂ© stratĂ©gique et une adoption limitĂ©e.

Ces initiatives restent précieuses, mais elles sont fragmentées. Elles n’ont ni l’envergure, ni la cohérence, ni l’accessibilité nécessaires pour construire un véritable espace public numérique ouvert, démocratique et durable. Mais malgré leur bonne volonté et leur contribution essentielle à l’imaginaire d’un web plus éthique, ces plateformes peinent à incarner une alternative crédible à grande échelle.C’est là que le projet Agora se distingue : en ne cherchant pas seulement à répliquer un outil existant, mais à réinventer l’ensemble de l’infrastructure sociale, technique et politique d’un réseau digne du 21e siècle.

Une expérience utilisateur trop fragmentée

Le premier obstacle est structurel : l’expérience utilisateur est morcelée, confuse et peu intuitive. Sur Mastodon, par exemple, l’utilisateur doit choisir une “instance” dès l’inscription — sans savoir comment ce choix impacte sa visibilité, ses relations ou la modération qu’il subira. Deux utilisateurs sur des instances différentes peuvent très bien ne jamais se croiser.Sur PeerTube, les différences d’interface et de règles entre les serveurs rendent l’usage instable. Ce modèle, aussi cohérent soit-il avec les principes de décentralisation, n’offre pas l’unité, la fluidité ni la continuité que le grand public attend d’un réseau social moderne.

Une interface souvent technique ou rebutante

Beaucoup de projets sont développés par des passionnés du libre, avec une expertise technique solide, mais sans moyens ou culture de design centrée utilisateur.L’interface de Lemmy, pourtant robuste techniquement, est souvent perçue comme froide et datée. Bluesky, de son côté, s’est construit sur un protocole innovant mais reste limité à une audience technophile et initiée.Résultat : ces plateformes attirent peu les artistes, les journalistes, les penseurs publics ou les institutions, qui n’y trouvent ni lisibilité, ni outils adaptés à leurs besoins d’expression ou de diffusion.

Une gouvernance souvent opaque ou instable

Un autre point commun entre plusieurs de ces projets est la dépendance excessive à un fondateur ou à un petit groupe centralisé.Mastodon a longtemps été piloté par Eugen Rochko, sans gouvernance partagée ni mécanisme clair de consultation communautaire. Bluesky, malgré sa promesse de décentralisation, reste étroitement lié à Jack Dorsey, et sa gouvernance reste floue.Ce déséquilibre entre ouverture technique et contrôle politique crée une centralisation implicite qui fragilise la légitimité démocratique du projet à long terme.

Une absence d’ambition systémique

Le problème le plus fondamental réside sans doute là : aucune de ces plateformes n’a aujourd’hui la structure, ni l’ambition, d’être une solution globale.Chacune s’attaque à un format : la micro-publication (Mastodon), la vidéo (PeerTube), les forums (Lemmy), les images (Pixelfed), mais aucune ne propose un espace complet, unifié, transversal, avec fil social, alter-ego, réputation, gouvernance collective, modération évolutive et stratégie de long terme.Elles traitent un symptôme — la publicité, la centralisation, la censure — mais rarement l’ensemble du problème.

Aucune incitation à créer ou à participer

Dans ces conditions, l’engagement ne repose que sur la conviction idéologique.
Il n’existe pas de système de réputation partagé, de reconnaissance des efforts ou d’encouragement actif à la participation.
Les utilisateurs les plus actifs sont souvent les plus radicaux ou les plus convaincus… mais cela ne suffit pas à faire vivre un espace social ouvert, diversifié, durable.

Aucun modèle économique viable

Presque toutes les plateformes alternatives reposent sur des dons, des subventions ou du bénévolat. Elles ne disposent ni de marketplace intégrée, ni de système de monétisation durable, ni d’un cadre clair pour soutenir les créateurs.Publier ou contribuer sur ces plateformes ne donne ni visibilité garantie, ni reconnaissance, ni revenu possible. Cela décourage les artistes, journalistes, chercheurs ou professionnels, qui n’ont aucune raison d’y investir temps, talent ou contenu original.Ce manque de modèle économique bloque leur évolution, leur autonomie et leur attractivité.

Une portée institutionnelle quasi nulle

Enfin, ces plateformes, aussi respectueuses soient-elles de la vie privée, n’ont pas les outils ni la stratégie pour convaincre les acteurs publics, les médias, les ONG ou les universités.
Elles n’offrent pas de garanties en matière de gouvernance, de sécurité juridique, de visibilité, ni d’intégration facile avec d’autres services. Leur impact reste localisé, marginal, ou symbolique, faute d’un projet lisible, stable, et pensé à grande échelle.

Agora : une réponse globale à un problème systémique

Agora ne se contente pas de proposer une alternative technique ou éthique.
Elle a été conçue comme une solution complète, cohérente, et structurellement solide, capable de réunir les fonctionnalités essentielles d’un espace social moderne, tout en restant fidèle aux principes de souveraineté, de liberté d’expression, et de transparence.
Agora ne vise pas seulement Ă  faire mieux que Mastodon, Bluesky ou PeerTube.
Elle vise à faire autrement : penser une plateforme non comme un patch, mais comme un écosystème, non comme un projet technique, mais comme une infrastructure sociale, durable, inclusive, évolutive.

Notre vision

Agora est conçue comme un espace libre, éthique et durable — une plateforme sociale au service de l’intérêt collectif.

  • Une modĂ©ration encadrĂ©e, transparente et Ă©quitable, alliant dĂ©tection automatique, signalements pondĂ©rĂ©s par la rĂ©putation, et validation humaine.

  • Une utilisation minimale des algorithmes, pour rendre aux utilisateurs le contrĂ´le sur ce qu’ils voient et publient.

  • Une gouvernance indĂ©pendante et rĂ©siliente, conçue pour Ă©voluer Ă  mesure que la plateforme atteint sa maturitĂ©; d’abord concentrĂ©e pour assurer la stabilitĂ©, puis progressivement ouverte Ă  la communautĂ©, selon un cadre structurĂ© et protĂ©gĂ© contre les ingĂ©rences.

  • Une publicitĂ© facultative, Ă©thique et transparente, sans exploitation des donnĂ©es personnelles.

  • Un financement reposant sur des contributions institutionnelles et communautaires, avec des revenus rĂ©investis dans la plateforme et dans des initiatives humanitaires d’envergure

Nos engagements

Chez Agora, nous ne construisons pas seulement une plateforme — nous défendons une vision du numérique fondée sur la responsabilité, la liberté et l’utilité collective.

  • Favoriser le dialogue international et l’échange culturel, dans un environnement protĂ©gĂ© de la manipulation et du conformisme algorithmique.

  • Lutter activement contre la dĂ©sinformation, en renforçant la transparence, la traçabilitĂ© et la vĂ©rifiabilitĂ© des contenus.

  • Assurer la fiabilitĂ© de l’information, grâce Ă  un système de notation indĂ©pendant des mĂ©dias, pilotĂ© par une tierce partie neutre.

  • Soutenir les voix engagĂ©es — journalistes, crĂ©ateurs, chercheurs, associations — avec des outils puissants, Ă©thiques et accessibles pour publier, analyser et dialoguer librement.

  • PrĂ©parer une gouvernance ouverte, Ă  la fois participative et protĂ©gĂ©e, qui sera mise en place lorsque la plateforme aura atteint sa maturitĂ©, afin de garantir stabilitĂ©, sĂ©curitĂ© et intĂ©gritĂ©.

Un passeport numérique international

Agora souhaiter poser les bases du premier passeport numérique et virtuel international, où identité et anonymat coexistent harmonieusement grâce à un système de vérification de compte jamais vue auparavant assurant l’inviolabilité de votre identité numérique.

Nous croyons qu’Agora peut devenir un symbole concret de la coopération internationale et de la liberté d’expression. Mais pour concrétiser cette vision, nous avons besoin de vous.Aidez-nous à montrer aux investisseurs et aux institutions que le monde est prêt pour un changement.

Rejoignez la liste d’attente et faites partie de ce mouvement dès aujourd’hui.

What if we changed everything?

Agora is a social platform in development, designed to give everyone back control over their voice, their data, and their interactions.
At a time when major platforms dictate the rules of our conversations, where virality overrides nuance, and speech is lost in opaque systems, Agora aims to offer a global, sober, and responsible alternative.
Neither a mere clone of existing networks nor a niche project reserved for insiders, Agora is conceived as a digital public square, open to all.
Here, freedom of expression, quality of exchange, and transparency are central to the experience.

  • An Alter-Ego (a second, anonymous profile) available to verified accounts, allowing users to speak freely without sacrificing accountability.

  • A fully customizable interface — for both the public profile and the Alter-Ego — designed to meet the needs of individuals and institutions alike.

  • A news feed free of filter bubbles, powered by an algorithm that promotes diversity of thought and moderated viewpoints.

  • A media reliability rating system, to promote trustworthy information and discourage manipulation.

  • A qualitative reputation system, designed to reward depth and rigor — not virality.

  • A multi-layered moderation system: combining AI-assisted detection, user flagging weighted by reputation, and final validation by a human moderator. Every decision is documented to ensure transparency and consistency.

  • Indenpendent and resilient governance, built to resist economic or political interference and to evolve with the community — toward the first true model of digital democracy.

  • An integrated economic model: internal marketplace, community subscriptions, convertible credits, and transparent institutional sponsorship.

  • Opt-in, non-invasive advertising, exchangeable for internal credits.

  • Advanced tools for journalists, creators, NGOs and researchers: professional publishing, trend analysis, and enriched content formats.

  • And much more to come

This is not just another so-called “alternative” network that ends up replicating the same broken models.
We’re talking about a radical shift, a deliberate break from the status quo.
Agora is a fundamentally different social platform, designed around transparency, freedom of expression, and user protection.
It rethinks moderation, access to information, and digital independence on a global scale.
Agora is an ambitious, independent project firmly focused on the future.
Built to rival today’s digital giants, it’s made for all those who believe in a freer, more structured, and more trustworthy internet.

Agora: for the creation of a digital space where speech matters again.

Nothing like what you have seen and different from everything that’s ever been done before.

But to make it happen, we need you. Not your money or a subscription. To convince our investors and bring this project to life, we need to prove that people are ready for real change.

Just your support.

Help us: join the waitlist and show that you, too, want a social network built for you — not against you.

Your email address will only be used to keep you informed about Agora’s progress. You can unsubscribe from the list at any time.

Why Agora? And why now?

The web is no longer what it once claimed to be — a space for freedom, creativity, and open exchange.
Today, a handful of private actors — Meta, Google, X (formerly Twitter), TikTok, YouTube — hold the majority of global digital power.
They set the rules, shape the narratives, and decide what deserves to be seen… or censored.
This ultra-centralized model has deep and lasting impacts on our societies — often invisible, but always structural.

1. A systematic capture of attention and value

These platforms are designed to maximize time spent — not the quality of the experience. What you see depends less on relevance than on the emotional reaction it provokes. The algorithm prioritizes shock, polarization, anger, or fear — because these are the emotions that keep users hooked.Meanwhile, your personal data — your clicks, your likes, even your silence — is collected, sold, and monetized without proper consent or fair compensation. As for creators, they’re at the mercy of opaque mechanisms whose rules change without warning. Their work is subject to a logic that rewards short-term virality over long-term value.

2. Algorithmic censorship that dares not speak its name

Content moderation is automated, opaque, and inconsistent.
Some narratives are amplified, others made invisible — with no explanation, no transparency, and no means of appeal. It’s not always intentional censorship, but rather a systemic form of selection — one that shapes our perception of the world based on unspoken criteria: economic interest, ideological positioning, brand strategy.
X (formerly Twitter) is now the most visible example: since its acquisition by Elon Musk, the platform has disabled key safeguards, prioritized paid accounts, and amplified certain narratives — while pushing others into the background.But this isn’t unique to one platform. Facebook, TikTok, and YouTube also tweak their algorithms for strategic purposes — and do so behind closed doors.

3. The filter bubble: killing debate, dulling minds

Each user moves within a personalized algorithmic universe, shaped by past behavior. Far from encouraging curiosity or dialogue, these platforms trap us in echo chambers — we only see what we already believe.The plurality of opinions becomes a variable to adjust, and the clash of ideas, a commercial risk. This fragmentation of reality undermines the very foundation of democratic debate: a shared public space. Communities no longer intersect, no longer listen to each other, and no longer understand one another.

4. The gradual erosion of digital sovereignty

By handing over our tools of expression and distribution to private companies — often based abroad — we surrender part of our collective autonomy. Institutions, media outlets, researchers, citizens: all are forced to rely on platforms that can block, bury, or erase their content without explanation or accountability.We’ve become tenants of a web we no longer own — a space where no sovereign, public, or independent alternative offers the guarantees needed for free, lasting, and secure exchange.

5. No space to doubt, explore, or breathe

On dominant platforms, every word is archived, indexed, and potentially reused. There’s no room left to test an idea, to express doubt, or to change your mind without consequences.Every act of speech is tied to a fixed, visible, monetized identity — and it can impact your public image, your career, and your reputation.This stifles authentic expression, discourages nuance, and leads many to self-censor or stay silent. Conformity becomes a survival strategy — safer than authenticity.

6. Business models that take — and give nothing back

The economic model behind dominant social platforms is fundamentally extractive:
they capture the value generated by users without redistributing it.
Creators provide the content, users provide the attention —
but the revenue flows to ad networks and shareholders. This system values neither quality, nor usefulness, nor reliability — only profitability.

Conclusion: The commodification of our digital lives

What we still call a “social network” is no longer truly a social space. It has become a marketplace of capture — a controlled, engineered environment optimized to seize our time, our attention, and our voices — not to set them free.This isn’t just a technical drift. It’s a structural imbalance, one that calls for a coherent, responsible, and ambitious response.

A project like Agora

The problems with social media are not limited to the United States. All around the world, algorithmic manipulation, arbitrary censorship, and the influence of private or political interests threaten the free and impartial flow of information.Even platforms that claim to be independent are not immune. A founder may be deeply committed to this fight — but what about their partners? Their successors?In response to these issues, the idea of nationalizing social networks is gaining traction. But in our view, this is not a viable long-term solution.

The reasons?

  • A government-controlled platform remains vulnerable to the shifting interests of politicians and the regimes in power.

  • Freedom of expression should not depend on those in power — it must be guaranteed, no matter who governs.

Useful but incomplete alternatives

Some will argue that alternatives already exist — and that’s true. Projects like Mastodon, PeerTube, Lemmy, Diaspora or Bluesky have emerged with sincere intentions and strong ethical foundations.But can they truly be called alternatives? Most of them address a single symptom — centralization, advertising, opaque moderation — without ever challenging the broader architecture of the problem.

  • Mastodon replicates the Twitter format, but leaves users lost in a maze of separate instances, with no unified vision or shared governance.

  • PeerTube decentralizes video hosting, but lacks cross-platform visibility and a creator-friendly ecosystem.

  • Bluesky claims to break power structures, yet remains tightly linked to its founders and lacks a viable economic model.

  • Other open-source initiatives struggle to reach beyond a niche user base, held back by complex interfaces, limited strategic clarity, and slow adoption.

These initiatives remain valuable, but they are fragmented. They lack the scale, coherence, and accessibility needed to build a truly open, democratic, and sustainable digital public space.Despite their good intentions and their essential contribution to a more ethical web, they struggle to offer a credible large-scale alternative.But Agora doesn’t aim to replicate existing tools — it seeks to reimagine the entire social, technical, and political infrastructure of what a 21st-century network should be.

A fragmented user experience

The first obstacle is structural: user experience is often fragmented, confusing, and unintuitive.On Mastodon, for example, users must choose a “server instance” right from the start — without understanding how this affects their visibility, moderation, or ability to connect. Two users on different instances might never even cross paths.On PeerTube, interface and moderation rules vary from server to server, creating an inconsistent experience.While this aligns with decentralization principles, it falls short of the unity, fluidity, and continuity the public expects from a modern social network.

Interfaces that feel too technical or unwelcoming

Many projects are built by open-source enthusiasts with strong technical skills — but often without the resources or design culture needed to prioritize user experience.Lemmy’s interface, though robust under the hood, is often perceived as cold and outdated. Bluesky, for its part, is built on an innovative protocol, but still caters primarily to a tech-savvy audience.The result? These platforms rarely attract artists, journalists, public thinkers, or institutions — they offer neither the clarity nor the tools needed for meaningful public engagement.

Unstable or opaque governance

Another recurring issue is over-reliance on a single founder or a small core group.
Mastodon, for years, was led by Eugen Rochko, with no shared governance or clear community consultation process.
Bluesky, despite its decentralization promise, remains closely tied to Jack Dorsey, and its governance remains unclear.
This imbalance — between technical openness and political control — creates implici

A lack of systemic ambition

Perhaps the most critical flaw: none of these platforms currently have the structure or ambition to offer a comprehensive solution.Each one targets a single format — microblogging (Mastodon), video (PeerTube), forums (Lemmy), images (Pixelfed) — but none offer a unified, cross-functional space combining a social feed, alter-egos, reputation systems, collective governance, evolving moderation, and a long-term strategy.They address symptoms —invasive advertising, centralization, censorship — but rarely the systemic issue as a whole.

No incentive to create or participate

In this context, participation depends almost entirely on ideological conviction. There’s no shared reputation system, no recognition for contributions, no active encouragement to engage.The most active users are often the most radical or committed — but that alone is not enough to sustain an open, diverse, and resilient social space.

No viable economic model

Almost all of these platforms rely on donations, grants, or volunteer labor. They lack integrated marketplaces, sustainable monetization, or clear frameworks to support creators.Publishing or contributing offers no guaranteed visibility, no recognition, no income — discouraging artists, journalists, researchers, and professionals who have little reason to invest their time, talent, or original content.This absence of an economic model limits their growth, independence, and appeal.

Minimal institutional reach

Finally, despite respecting privacy and ethical standards, these platforms lack the tools and strategy to convince public institutions, media outlets, NGOs, or universities.They offer no strong guarantees in terms of governance, legal stability, visibility, or interoperability. Their impact remains local, marginal, or symbolic, for lack of a readable, stable, and large-scale vision

Agora: a comprehensive response to a systemic problem

Agora is not just a technical or ethical alternative. It is designed as a complete, coherent, and structurally sound solution — one that integrates the core features of a modern social space while remaining true to principles of sovereignty, free expression, and transparency.Agora doesn’t aim to be better than Mastodon, Bluesky, or PeerTube. It aims to be different — to rethink the platform not as a patch, but as an ecosystem. Not as a technical project, but as a social infrastructure — durable, inclusive, and evolving.

Our vision:

Agora is designed as a free, ethical, and sustainable space — a social platform that serves the public good.

  • A fair, structured and transparent moderation system, combining automated detection, reputation-weighted user reports, and human validation.

  • Minimal use of algorithms, to give users back control over what they see and share.

  • Independent and resilient governance, built to evolve as the platform matures: initially centralized for stability, then gradually opened to the community through a structured framework protected from external interference.

  • Optional, ethical, and transparent advertising, with no exploitation of personal data.

  • Funding based on institutional and community contributions, with revenues reinvested in the platform and in large-scale humanitarian initiatives.

Our Pledge

At Agora, we’re not just building a platform — we’re advancing a vision of the digital world grounded in responsibility, freedom, and collective utility.

  • Fostering international dialogue and cultural exchange, in an environment shielded from manipulation and algorithmic conformity.

  • Actively fighting disinformation, by reinforcing transparency, traceability, and content verifiability.

  • Ensuring the reliability of information, through a media rating system managed by an independent, neutral third party.

  • Supporting committed voices — journalists, creators, researchers, and civil society actors — with powerful, ethical, and accessible tools to publish, analyze, and engage freely.

  • Preparing for open governance, both participatory and protected, to be implemented once the platform reaches maturity — ensuring stability, security, and integrity over time.

An International Digital Passport

Agora aims to lay the foundation for the very first international digital and virtual passport, where identity and anonymity coexist harmoniously thanks to a groundbreaking account verification system that ensures the inviolability of your digital identity.

We believe that Agora can become a concrete symbol of international cooperation and freedom of expression. But to make this vision a reality, we need you.Help us show investors and institutions that the world is ready for change

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