Et si on changeait tout?
Le constat : un web qui Ă©touffe
Le web nâest plus un espace de libertĂ©. Aujourdâhui, une poignĂ©e de gĂ©ants du numĂ©rique (GAFAM) concentrent les donnĂ©es, les flux dâinformation et les revenus. Ils contrĂŽlent les rĂšgles du jeu, verrouillent les canaux de visibilitĂ©, et captent la valeur crĂ©Ă©e par des milliards dâutilisateurs. Ce modĂšle ultra-centralisĂ© nâest pas neutre : il produit des effets graves et durables sur nos sociĂ©tĂ©s.
1ïžâŁ. Un pouvoir concentrĂ© entre les mains de quelques plateformes
â Meta, Google, X (ex-Twitter), YouTube⊠Ces plateformes Ă©crivent les rĂšgles, les changent Ă volontĂ©, et nâont de comptes Ă rendre Ă personne.
â Les crĂ©ateurs deviennent dĂ©pendants dâalgorithmes opaques : leur visibilitĂ© et leurs revenus fluctuent sans explication.
â Les utilisateurs, eux, sont rĂ©duits Ă des profils publicitaires. Leur attention est collectĂ©e, analysĂ©e, revendue â sans consentement Ă©clairĂ© ni partage de la valeur.Ce nâest plus un espace dâĂ©change : câest un systĂšme extractif.
2ïžâŁ. Une censure invisible, mais bien rĂ©elle
â Les plateformes filtrent les contenus Ă travers des algorithmes ou des modĂ©rations opaques.
â Certaines voix sont amplifiĂ©es, dâautres Ă©touffĂ©es â parfois pour des raisons politiques, Ă©conomiques ou idĂ©ologiques.
â La libertĂ© dâexpression devient conditionnelle, encadrĂ©e par des intĂ©rĂȘts privĂ©s.Le dĂ©bat public devient un produit. La pluralitĂ© dâopinions, une variable dâajustement.
3ïžâŁ. Une perte de souverainetĂ© numĂ©rique
â En dĂ©lĂ©guant nos outils dâexpression et de crĂ©ation Ă des entreprises Ă©trangĂšres, nous renonçons Ă une part de notre autonomie dĂ©mocratique.
â Les institutions publiques, les chercheurs, les mĂ©dias indĂ©pendants⊠dĂ©pendent dâinterfaces commerciales pour exister en ligne.
â Aucune alternative souveraine ne leur permet de diffuser, protĂ©ger et pĂ©renniser leurs contenus.Nous sommes locataires dâun web qui ne nous appartient plus.
4ïžâŁ. Aucune zone de respiration, aucune libertĂ© dâessai
â Sur les rĂ©seaux dominants, chaque mot peut ĂȘtre archivĂ©, scrutĂ©, rĂ©utilisĂ©.
â Toute prise de parole engage lâimage publique, la carriĂšre, la rĂ©putation : il nây a plus de droit Ă lâerreur, ni dâespace pour explorer ou douter.
â Ce climat freine lâexpression authentique, bloque la nuance, et encourage le conformisme social.Le silence devient plus sĂ»r que la parole.
5ïžâŁ. Des modĂšles Ă©conomiques injustes, conçus pour capter la valeur
â Les plateformes empochent lâessentiel des revenus gĂ©nĂ©rĂ©s par les crĂ©ateurs, tout en les laissant porter le risque.
â Les utilisateurs, pourtant au cĆur du systĂšme, ne perçoivent rien, alors quâils produisent de la valeur par leur simple prĂ©sence et leurs interactions.
â Les rĂšgles sont dictĂ©es par des impĂ©ratifs publicitaires, pas par la qualitĂ©, la pertinence ou lâutilitĂ© des contenus.Le web est devenu un marchĂ© Ă sens unique.
Il est temps de changer de cap!
Ce que nous vivons nâest pas une dĂ©rive passagĂšre du numĂ©rique : câest un modĂšle qui sâessouffle, un Ă©cosystĂšme verrouillĂ© qui ne sert plus lâintĂ©rĂȘt collectif. Aujourdâhui, quelques plateformes dĂ©cident de ce que nous voyons, de ce que nous disons, de ce qui mĂ©rite dâexister.
Les crĂ©ateurs sont enfermĂ©s dans des mĂ©caniques quâils ne maĂźtrisent plus. Les utilisateurs sont profilĂ©s, surveillĂ©s, instrumentalisĂ©s. Et les voix indĂ©pendantes, publiques ou critiques, peinent Ă se faire entendre.Chaque jour qui passe creuse un peu plus le fossĂ© :â Entre ceux qui contrĂŽlent lâinfrastructure et ceux qui la subissent,
â Entre ce que nous pourrions faire dâinternet â et ce que nous en faisons vraiment.â«ïžQuand la parole devient un produit,
â«ïžQuand les crĂ©ateurs perdent le contrĂŽle de leur Ćuvre,
â«ïžQuand les institutions publiques nâont plus dâespace souverain pour informer,
â«ïžQuand exercer sa libertĂ© dâexpression devient un risque,Alors il ne sâagit plus dâun simple inconvĂ©nient â mais dâun danger bien rĂ©el pour nos dĂ©mocraties, nos cultures et notre capacitĂ© Ă imaginer ensemble.Nous ne pouvons plus continuer Ă Ă©voluer dans des environnements qui extraient sans redistribuer, filtrent sans expliquer, contrĂŽlent sans lĂ©gitimation.Il faut repenser nos espaces numĂ©riques.
Redonner du sens, de la transparence, de la liberté.
Et surtout, en reprendre le contrĂŽle.Ce nâest pas seulement possible.
Câest devenu urgent.


Agora
Nous travaillons actuellement sur une nouvelle plateforme sociale radicalement diffĂ©rente, conçue pour la transparence, la libertĂ© dâexpression et la protection des utilisateurs. Agora se veut une alternative qui repense la modĂ©ration, lâaccĂšs Ă lâinformation et lâindĂ©pendance numĂ©rique Ă travers le monde.Il nâest pas ici question dâun Ă©niĂšme rĂ©seau « alternatif » qui finit finalement par copier les modĂšles dĂ©fectueux dĂ©jĂ existants. Nous parlons dâun changement radical, dâune rupture avec le modĂšle actuel!
Sans algorithme manipulateur.
Sans monétisation agressive.
Sans exploitation de vos données.
Sans dépendance aux grandes entreprises.
Avec une approche de la modération et de la gouvernance jamais vue ailleurs.
Rien de ce que vous connaissez.
Rien de ce qui a déjà été fait.
Mais pour y arriver, nous avons besoin de vous.Pas de votre argent ou dâun abonnement.
Juste de votre intĂ©rĂȘt.
Pour convaincre nos investisseurs et concrĂ©tiser ce projet, nous devons prouver que les gens veulent un vĂ©ritable changement.Aidez-nous : Inscrivez-vous Ă la liste dâattente et montrez que vous aussi, vous voulez un rĂ©seau social conçu pour vous, et non contre vous.
Votre adresse e-mail ne sera utilisĂ©e que pour vous tenir informĂ© de lâavancement dâAgora. Vous pourrez vous retirer de la liste Ă tout moment.
Pourquoi ce projet?
Le biais des réseaux actuels:La Mainmise des Oligarques sur les Réseaux Sociaux.
Nous vivons Ă une Ă©poque oĂč les rĂ©seaux sociaux jouent un rĂŽle central dans la diffusion de lâinformation et la formation de lâopinion publique. Chaque jour, des milliards dâutilisateurs Ă travers le monde consomment du contenu qui influence leur perception de lâactualitĂ©, de la politique et du monde en gĂ©nĂ©ral. Cependant, un problĂšme fondamental se pose : aucun rĂ©seau social majeur nâest vĂ©ritablement indĂ©pendant sur le plan politique.Depuis plusieurs annĂ©es, nous assistons Ă un phĂ©nomĂšne troublant : la concentration du pouvoir mĂ©diatique entre les mains de quelques milliardaires et multinationales qui, volontairement et dĂ©libĂ©rĂ©ment, façonnent lâopinion publique afin de servir leurs propres intĂ©rĂȘts. Loin dâĂȘtre de simples plateformes neutres, ces entreprises ont des liens de plus en plus Ă©troits avec lâoligarchie amĂ©ricaine Ă©mergente et, en particulier, avec lâadministration Trump.
Twitter/X : Le RĂ©seau Social dâElon Musk au Service dâun Agenda Politique.
Depuis son acquisition par Elon Musk en 2022, Twitter (rebaptisĂ© « X ») est devenu un vecteur idĂ©ologique bien plus marquĂ© quâauparavant. Officiellement, Musk sâest prĂ©sentĂ© comme un dĂ©fenseur de la « libertĂ© dâexpression », critiquant les dĂ©cisions de modĂ©ration prises par lâancienne administration de Twitter, notamment celles qui avaient conduit Ă la suspension du compte de Donald Trump en janvier 2021. Cependant, sous prĂ©texte de favoriser un « dĂ©bat ouvert », Musk a rĂ©intĂ©grĂ© de nombreux comptes bannis pour dĂ©sinformation ou incitation Ă la haine, renforçant ainsi la polarisation politique sur la plateforme.Ce rapprochement idĂ©ologique entre Musk et lâadministration Trump ne sâest pas fait discrĂštement. Lâentrepreneur est devenu une figure de proue de la nouvelle droite amĂ©ricaine, assistant rĂ©guliĂšrement Ă des Ă©vĂ©nements influents du mouvement conservateur et multipliant les dĂ©clarations en faveur des politiques trumpistes. Cette influence sâest traduite par des changements concrets dans la gestion de Twitter/X : rĂ©duction drastique des Ă©quipes de modĂ©ration, amplification algorithmique des comptes et discours conservateurs, et suppression des programmes luttant contre la dĂ©sinformation.Le danger est clair : en contrĂŽlant lâun des plus grands espaces de discussion publique, Elon Musk et son entourage ont dĂ©sormais un levier de pouvoir sans prĂ©cĂ©dent pour façonner les discours politiques et orienter le dĂ©bat public en fonction de leurs intĂ©rĂȘts.
TikTok : Un GĂ©ant en PĂ©ril et une Tentative de ContrĂŽle?
TikTok, la plateforme chinoise de partage de vidĂ©os, est depuis longtemps dans la ligne de mire des autoritĂ©s amĂ©ricaines, en raison de ses liens avec le gouvernement chinois Ă travers sa sociĂ©tĂ© mĂšre, ByteDance. Cette mĂ©fiance sâest accentuĂ©e ces derniĂšres annĂ©es, au point oĂč Donald Trump avait tentĂ© dâinterdire lâapplication aux Ătats-Unis lors de son premier mandat, sous prĂ©texte de risque pour la sĂ©curitĂ© nationale. Cependant, alors que TikTok semblait pouvoir survivre aux pressions politiques, une nouvelle menace est apparue : lâintĂ©rĂȘt dâElon Musk pour la branche amĂ©ricaine de lâapplication. Officiellement, lâentrepreneur a niĂ© tout projet dâacquisition, mais compte tenu de son historique de rachats stratĂ©giques, il est lĂ©gitime de douter de ses intentions.Un Ă©vĂ©nement marquant a toutefois semĂ© le trouble en janvier dernier : TikTok a Ă©tĂ© temporairement mis hors service aux Ătats-Unis pendant une douzaine dâheures. Ă son retour, les utilisateurs ont Ă©tĂ© accueillis par un message pour le moins inhabituel :« Thanks for your patience and support. As a result of President Trumpâs efforts, TikTok is back in the U.S.! »Cette dĂ©claration pose de nombreuses questions. Pourquoi une entreprise privĂ©e remercierait-elle aussi directement un prĂ©sident pour son retour en ligne ? Ătait-ce une maniĂšre implicite de reconnaĂźtre une intervention politique directe ? Ou bien un signe avant-coureur dâune future prise de contrĂŽle par des intĂ©rĂȘts liĂ©s Ă lâadministration Trump?Si TikTok venait Ă ĂȘtre rachetĂ© ou placĂ© sous influence de figures proches du pouvoir amĂ©ricain, cela marquerait la fin de la derniĂšre grande plateforme sociale mondiale indĂ©pendante des Ă©lites Ă©conomiques et politiques des Ătats-Unis.
Meta (Facebook, Instagram, WhatsApp) : Un Revirement en Faveur de Trump?
Longtemps considĂ©rĂ© comme un adversaire de Donald Trump en raison des tensions entre lâex-prĂ©sident et Mark Zuckerberg, Meta semble avoir changĂ© de cap ces derniers temps. Alors que Facebook avait mis en place des mesures strictes de fact-checking et de lutte contre la dĂ©sinformation lors des Ă©lections de 2020, ces programmes ont Ă©tĂ© progressivement abandonnĂ©s ou Ă©dulcorĂ©s.Parmi les signes les plus frappants de ce rapprochement entre Meta et lâadministration Trump, on peut noter :
- Un dßner privé entre Mark Zuckerberg et Donald Trump, qui a soulevé de nombreuses spéculations quant à la nature des discussions.
- Un don monĂ©taire dâun million de dollars, rĂ©alisĂ© par Zuckerberg ou des proches, en faveur dâune organisation soutenant les campagnes conservatrices.
- La suppression du programme EXIT, un outil de vérification des faits mis en place pour lutter contre la désinformation sur la plateforme.
- La fermeture des initiatives pour la diversitĂ© dans le recrutement, qui avaient Ă©tĂ© instaurĂ©es sous lâadministration Biden et qui ne semblent plus ĂȘtre une prioritĂ© pour Meta.
- La promotion de JoĂ«l Kaplan, un fervent trumpiste, Ă la tĂȘte des affaires publiques globales de Meta, renforçant encore plus lâorientation politique de lâentreprise.Ces changements ne sont pas anodins : ils traduisent un alignement stratĂ©gique entre Zuckerberg et lâadministration Trump, probablement dans lâespoir de prĂ©server lâinfluence de Meta et dâĂ©viter une rĂ©glementation plus stricte de ses activitĂ©s en cas de retour de Trump au pouvoir.
Google : Une Connivence Croissante avec lâAdministration Trump?
Google, qui a longtemps naviguĂ© entre les diffĂ©rentes tendances politiques en veillant Ă ne pas trop afficher ses prĂ©fĂ©rences, semble lui aussi avoir amorcĂ© un rapprochement stratĂ©gique avec Donald Trump. Ce changement de posture sâexplique sans doute par des considĂ©rations Ă©conomiques et rĂ©glementaires. Sous lâadministration Biden, Google faisait face Ă des menaces de dĂ©mantĂšlement en raison de son quasi-monopole sur les moteurs de recherche et la publicitĂ© en ligne.Face Ă cette pression, il est possible que les dirigeants de lâentreprise aient choisi dâanticiper un possible retour de Trump en 2024 en adoptant une posture plus conciliante envers lui. Parmi les indices de ce rapprochement, on note une certaine complaisance accrue envers les contenus conservateurs sur YouTube, propriĂ©tĂ© de Google, ainsi quâune baisse des sanctions contre les crĂ©ateurs pro-Trump qui avaient Ă©tĂ© frappĂ©s par des restrictions aprĂšs lâassaut du Capitole en janvier 2021.
Conclusion : Vers un Internet Monopolistique et Politisé.
Si cette tendance se maintien, cela signifierait que toutes les grandes plateformes numĂ©riques amĂ©ricaines sont dĂ©sormais en phase avec les intĂ©rĂȘts politiques de lâadministration Trump, fermant ainsi la porte Ă toute vĂ©ritable diversitĂ© dâopinion dans lâespace numĂ©rique. Loin dâĂȘtre de simples outils de communication, les rĂ©seaux sociaux sont devenus des instruments de pouvoir, façonnant les perceptions et influençant directement les opinions publiques. Or, la concentration croissante de ces plateformes entre les mains de quelques milliardaires aux intĂ©rĂȘts politiques bien dĂ©finis pose un problĂšme dĂ©mocratique majeur.Dans un monde oĂč la libertĂ© dâinformation est menacĂ©e par des monopoles alignĂ©s politiquement, il est urgent de rĂ©flĂ©chir Ă des alternatives vĂ©ritablement indĂ©pendantes. Un rĂ©seau social gĂ©rĂ© de maniĂšre transparente, sans ingĂ©rence politique ni Ă©conomique, pourrait reprĂ©senter une solution cruciale pour prĂ©server un Internet libre et pluraliste pour tous.
Sans information impartiale, câest la dĂ©mocratie elle-mĂȘme qui est menacĂ©e.
Agora existe pour protĂ©ger cette impartialitĂ©, et redonner aux citoyens un espace oĂč sâexprimer librement et oĂč vĂ©ritablement sâinformer.
La question est dĂ©sormais entre les mains de chacun : sommes-nous prĂȘts Ă laisser quelques hommes dâaffaires milliardaires Ă©goĂŻstes dicter le cadre de nos discussions en ligne, ou est-il temps de rĂ©clamer une nouvelle Ăšre numĂ©rique, oĂč lâinformation et le dĂ©bat appartiennent rĂ©ellement au public ?
â LâĂ©chec des rĂ©seaux sociaux.
Les dĂ©rives des rĂ©seaux sociaux ne se limitent pas aux Ătats-Unis. Partout dans le monde, la manipulation algorithmique, la censure arbitraire et lâinfluence des intĂ©rĂȘts privĂ©s ou politiques menacent lâinformation libre et impartiale.MĂȘme les plateformes se voulant indĂ©pendantes ne sont pas Ă lâabri. Un fondateur peut avoir cette lutte Ă cĆur, mais quâen est-il de ses associĂ©s ? De ses successeurs ?Face Ă ce problĂšme, lâidĂ©e de nationaliser les rĂ©seaux sociaux gagne du terrain. Mais Ă nos yeux, cela ne reprĂ©sente pas une solution viable Ă long terme.
Pourquoi?
Une plateforme sous contrĂŽle gouvernemental reste vulnĂ©rable aux intĂ©rĂȘts changeants des politiques et aux rĂ©gimes en place.
La libertĂ© dâexpression ne doit pas dĂ©pendre du pouvoir en place â elle doit ĂȘtre garantie, peu importe qui gouverne.
Agora: une approche inédite
Agora est un projet mondial ambitieux, conçu pour offrir une alternative saine aux rĂ©seaux sociaux actuels dĂ©fectueux. Nous proposons un rĂ©seau vĂ©ritablement neutre, indĂ©pendant, oĂč ni une entreprise privĂ©e, ni un gouvernement nâaura JAMAIS lâoccasion dâimposer son contrĂŽle.
Notre vision
Une modération équitable, humaine, respectueuse des libertés individuelles.
Une utilisation minimale des algorithmes, pour redonner le contrĂŽle du contenu aux utilisateurs.
Une publicité éthique, et un financement par des contributions institutionnelles transparentes.
Des revenus réinvestis dans la plateforme et dans des initiatives humanitaires internationales.
Les valeurs dâAgora
Promouvoir la discussion internationale et lâĂ©change culturel.
Combattre activement la désinformation et la manipulation des informations en ligne.
Garantir une information fiable grùce à un systÚme de notation des médias géré par une tierce partie neutre.
Offrir des outils avancés aux journalistes, créateurs de contenu, organisations et entreprises pour publier de maniÚre engageante et professionnelle.
Des fonctionnalités pensées pour une expérience unique
Les fonctionnalitĂ©s traditionnelles attendues dâun rĂ©seau social (bien Ă©videment).
Actualités factuelles et vérifiées.
Personnalisation complĂšte de lâinterface et des avatars.
SystÚme de notation des médias basé sur la qualité des informations relayées, établi par un organisme indépendant afin de promouvoir un journalisme factuel de qualité.
Des outils analytiques pour les comptes professionnels afin de sonder discrĂštement les tendances et opinions.
Et un secret soigneusement gardé⊠Une fonctionnalité révolutionnaire à venir.

Un passeport numérique international
Agora souhaiter poser les bases du premier passeport numĂ©rique et virtuel international, oĂč identitĂ© et anonymat coexistent harmonieusement grĂące Ă un systĂšme de vĂ©rification de compte jamais vue auparavant assurant lâinviolabilitĂ© de votre identitĂ© numĂ©rique.
Nous croyons quâAgora peut devenir un symbole concret de la coopĂ©ration internationale et de la libertĂ© dâexpression. Mais pour concrĂ©tiser cette vision, nous avons besoin de vous.Aidez-nous Ă montrer aux investisseurs et aux institutions que le monde est prĂȘt pour un changement.
Rejoignez la liste dâattente et faites partie de ce mouvement dĂšs aujourdâhui.
What if we reinvented everything?
The Reality: A Web Thatâs Suffocating
The web is no longer a space of freedom.
Today, a handful of tech giants (GAFAM) control the data, the information flows, and the revenue.
They set the rules, dominate visibility, and capture the value created by billions of users.
This ultra-centralized model isnât neutral â it has deep and lasting effects on our societies.
1ïžâŁ. Power concentrated in the hands of a few platforms
â Meta, Google, X (formerly Twitter), YouTube⊠These platforms write the rules, change them at will, and answer to no one.
â Creators are trapped by opaque algorithms: their reach and income fluctuate without explanation.
â Users are reduced to advertising profiles. Their attention is tracked, analyzed, and sold â without informed consent or value sharing.This is no longer an open space for exchange â itâs an unfair system.
2ïžâŁ. Invisible, yet very real censorship
â Platforms filter content through opaque moderation and algorithmic curation.
â Some voices are amplified, others silenced â sometimes for political, economic, or ideological reasons.
â Freedom of speech becomes conditional, shaped by private interests.Public debate becomes a product. Plurality of opinion, a variable to optimize.
3ïžâŁ. A loss of digital sovereignty
â By outsourcing our tools of expression and creation to foreign corporations, weâre surrendering a part of our democratic autonomy.
â Public institutions, researchers, independent media⊠all depend on commercial platforms to exist online.
â No sovereign alternative allows them to safely share, protect, and preserve their content.Weâve become tenants of a web we no longer own.
4ïžâŁ. No breathing room, no freedom to explore
â On dominant platforms, every word can be archived, scrutinized, reused.
â Every post affects your public image, your job, your reputation: thereâs no room for trial and error, no space to think aloud or doubt.
â This climate stifles authentic expression, blocks nuance, and fuels social conformity.Silence then becomes safer than free speech
5ïžâŁ. Economic models built to extract
â Platforms pocket most of the revenue generated by creators, while pushing all the risk onto them.
â Users, who are central to the system, earn nothing â even though their attention and interactions create immense value.
â Rules are dictated by advertising needs, not by content quality, relevance, or usefulness.The web has become a one-way marketplace.
Time to Change Course
What weâre facing is not a temporary glitch â itâs a system running out of steam, a locked-down ecosystem that no longer serves the public good.
Today, a few platforms decide what we see, what we say, and what is allowed to exist.Creators are caught in mechanisms they donât control.
Users are profiled, tracked, manipulated.
And independent, public, or critical voices struggle to be heard.Every passing day widens the gap:
â Between those who control the infrastructure, and those who are subject to it.
â Between what the internet could be â and what it has become.â«ïž When speech becomes a product,
â«ïž When creators lose control over their work,
â«ïž When public institutions have no sovereign space to inform,
â«ïž When free expression becomes a risk,This isnât mere discomfort â itâs a threat to our democracies, our cultures, and our collective imagination.We canât afford to keep evolving in digital environments that extract without redistributing, filter without explaining, and control without accountability.We must rethink our digital spaces.
Restore meaning, transparency, and freedom.
And above all â take back control.This isnât just possible.Itâs urgent.

Agora

We are currently building a radically different social platform, designed for transparency, freedom of expression, and user protection. Agora aims to be an alternative that redefines moderation, access to information, and digital independence worldwide.This is not just another so-called âalternativeâ network that ultimately ends up copying the same flawed models. Weâre talking about a radical change â a complete break from the current system!
No manipulative algorithms.
No aggressive monetization.
No exploitation of your data.
No dependence on big corporations.
With a completely new approach to moderation and governance â unlike anything seen before.
Nothing like what you have seen.
Nothing like whatâs ever been done before.
But to make it happen, we need you.Not your money or a subscription.
Just your support.
To convince our investors and bring this project to life, we need to prove that people are ready for real change.Help us: join the waitlist and show that you, too, want a social network built for you â not against you.
Your email address will only be used to keep you informed about Agoraâs progress. You can unsubscribe from the list at any time.
Why this project?
Misinformation and Bias on Todayâs Social MediaThe Grip of Oligarchs on Social Media
We live in an era where social media plays a central role in the dissemination of information and the shaping of public opinion. Every day, billions of users around the world consume content that influences their perception of current events, politics, and the world in general. However, a fundamental problem arises: no major social media platform is truly independent on a political level.For several years now, we have been witnessing a troubling phenomenon: the concentration of media power in the hands of a few billionaires and multinational corporations who, willingly and deliberately, shape public opinion to serve their own interests. Far from being neutral platforms, these companies are increasingly closely connected to the emerging American oligarchy and, in particular, to the Trump administration.
Twitter/X: Elon Muskâs Social Network in the Service of a Political Agenda.
Since its acquisition by Elon Musk in 2022, Twitter (renamed âXâ) has become a far more ideologically driven platform than before. Officially, Musk has presented himself as a defender of âfree speech,â criticizing the moderation decisions made by Twitterâs former management, particularly those that led to the suspension of Donald Trumpâs account in January 2021. However, under the pretext of promoting an âopen debate,â Musk has reinstated numerous accounts that had been banned for spreading misinformation or inciting hatred, thereby intensifying political polarization on the platform.This ideological alignment between Musk and the Trump administration has not taken place quietly. The entrepreneur has become a leading figure of the new American right, regularly attending influential conservative events and making repeated statements in support of Trumpist policies. This influence has resulted in concrete changes in the management of Twitter/X: a drastic reduction of moderation teams, algorithmic amplification of conservative accounts and discourse, and the removal of programs aimed at combating misinformation.The danger is clear: by controlling one of the largest public discussion spaces, Elon Musk and those around him now hold an unprecedented lever of power to shape political discourse and steer public debate to serve their own interests.
TikTok: A Giant in Peril and an Attempt at Control?
TikTok, the Chinese video-sharing platform, has long been in the crosshairs of U.S. authorities due to its ties with the Chinese government through its parent company, ByteDance. This mistrust has intensified in recent years, to the point that Donald Trump attempted to ban the app in the United States during his first term, citing national security concerns. However, while TikTok seemed likely to withstand political pressure, a new threat has emerged: Elon Muskâs interest in the platformâs U.S. operations. Officially, the entrepreneur has denied any plans for acquisition, but given his history of strategic takeovers, it is reasonable to question his intentions.A striking event further fueled suspicion this past January: TikTok was temporarily taken offline in the United States for roughly twelve hours. When it returned, users were greeted by a rather unusual message:âThanks for your patience and support. As a result of President Trumpâs efforts, TikTok is back in the U.S.!âThis statement raises many questions. Why would a private company so directly thank a president for its return online? Was this an implicit acknowledgment of direct political intervention? Or perhaps an early sign of an eventual takeover by interests aligned with the Trump administration?If TikTok were to be acquired or placed under the influence of figures close to the American political establishment, it would mark the end of the last major global social media platform independent of the economic and political elites of the United States.Si tu veux, je peux tâaider Ă harmoniser toute la traduction dans un style parfaitement adaptĂ© Ă un essai, un article dâopinion ou un rapport universitaire, selon ton projet.
Meta (Facebook, Instagram, WhatsApp): A Shift in Favor of Trump?
Long considered an adversary of Donald Trump due to tensions between the former president and Mark Zuckerberg, Meta seems to have recently changed course. While Facebook had implemented strict fact-checking and anti-misinformation measures during the 2020 elections, these programs have since been gradually dismantled or watered down.Among the most striking signs of this growing alignment between Meta and the Trump administration are:
âą A private dinner between Mark Zuckerberg and Donald Trump, sparking much speculation about the nature of their discussions.
âą A $1 million donation, made by Zuckerberg or close associates, to an organization supporting conservative campaigns.
âą The dismantling of the EXIT program, a fact-checking tool created to combat misinformation on the platform.
âą The closure of diversity recruitment initiatives, introduced under the Biden administration and now seemingly no longer a priority for Meta.
âą The promotion of Joel Kaplan, a staunch Trump supporter, to head global public policy at Meta, further reinforcing the companyâs political orientation.These changes are far from insignificant: they reflect a strategic alignment between Zuckerberg and the Trump administration, likely aimed at preserving Metaâs influence and avoiding tighter regulation of its activities in the event of Trumpâs return to power.
Google: Growing Alignment with the Trump Administration?
Google, which has long navigated between different political currents while taking care not to reveal any clear preferences, also appears to have begun a strategic shift toward alignment with Donald Trump. This change in posture is likely driven by economic and regulatory considerations. Under the Biden administration, Google faced threats of being broken up due to its near-monopoly over search engines and online advertising.In response to this pressure, it is possible that the companyâs leadership has chosen to anticipate a potential Trump return in 2024 by adopting a more conciliatory stance toward him. Signs of this shift include growing leniency toward conservative content on YouTube, a Google-owned platform, as well as a noticeable decrease in sanctions against pro-Trump creators who had been restricted following the Capitol attack in January 2021.
Conclusion: Toward a Monopolized and Politicized Internet.
If this trend continues, it would mean that all major American digital platforms are now aligned with the political interests of the Trump administration, effectively closing the door to any genuine diversity of opinion in the digital space. Far from being mere communication tools, social media platforms have become instruments of power, shaping perceptions and directly influencing public opinion. The growing concentration of these platforms in the hands of a few billionaires with clear political agendas poses a serious democratic challenge.In a world where freedom of information is threatened by politically aligned monopolies, it is urgent to consider truly independent alternatives. A social network managed transparently, without political or economic interference, could be a crucial solution for preserving a free and pluralistic Internet for all.
Without impartial information, democracy itself is at risk
Agora exists to protect that impartiality and to give citizens back a space where they can express themselves freely and truly access reliable information.
The question is now in everyoneâs hands: are we ready to let a handful of selfish billionaire businessmen dictate the framework of our online conversations, or is it time to demand a new digital era â one where information and debate truly belong to the public?
â The Failure of Social Media Platforms
The excesses of social media are not limited to the United States. All over the world, algorithmic manipulation, arbitrary censorship, and the influence of private or political interests threaten free and impartial information.Even platforms that claim to be independent are not immune. A founder may be genuinely committed to this fight â but what about their associates? Their successors?In response to this problem, the idea of nationalizing social media platforms is gaining traction. However, in our view, this does not represent a viable long-term solution.
Agora: A New and Unprecedented Approach
Agora is an ambitious global project, designed to offer a healthy alternative to todayâs flawed social media platforms. We propose a truly neutral, independent network where neither a private corporation nor a government will EVER have the opportunity to take control.
The reasons?
A government-controlled platform remains vulnerable to the shifting interests of politicians and the regimes in power.
Freedom of expression should not depend on those in power â it must be guaranteed, no matter who governs.
Our vision:
Fair, human moderation that respects individual freedoms.
Minimal use of algorithms, giving users back control over the content they see.
Ethical advertising, with funding from transparent institutional contributions.
Revenue reinvested into the platform and international humanitarian initiatives.
Agoraâs core values
Promote international dialogue and cultural exchange.
Actively fight misinformation and the manipulation of online information.
Ensure reliable information through a media rating system managed by a neutral third party.
Provide advanced tools for journalists, content creators, organizations, and businesses to publish in an engaging and professional manner.
Features Designed for an Unique Experienc
The traditional features you would expect from a social network (of course).
Fact-checked and verified news
Fully customizable interface and avatars.
A media rating system based on the quality of the information shared, established by an independent body to promote high-quality, factual journalism.
Analytical tools for professional accounts to discreetly monitor trends and public opinion.
And a carefully kept secret⊠a revolutionary feature coming soon.

An International Digital Passport
Agora aims to lay the foundation for the very first international digital and virtual passport, where identity and anonymity coexist harmoniously thanks to a groundbreaking account verification system that ensures the inviolability of your digital identity.
We believe that Agora can become a concrete symbol of international cooperation and freedom of expression. But to make this vision a reality, we need you.Help us show investors and institutions that the world is ready for change
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